GIBERGUES

Qu’il s’agisse de portraits imaginaires ou d’autoportraits, je poursuis mon exploration de la singularité de l’individu avec ses imperfections, ses défauts et ses faiblesses. Mêlant fantasmes, souvenirs personnels à des influences très diverses allant des portraitistes flamants du 15e s. aux selfies en passant par Vélasquez, le cinéma, les images publicitaires des années 60 et l’univers télévisuel enfantin des années 70-80, je crée mon propre monde, m’efforçant toujours d’entretenir une sorte de confusion et d’incongruité qui par un mélange de bizarre, de grotesque, de touchant, de truculent et de trouble, ouvre la voie à tous les possibles, à toutes les interprétations possibles